Si vraiment nous voulons soutenir ces enfants blessés , il faut les rendre actifs et non pas les gaver. ce n'est pas en donnant plus qu'on pourra les aider , bien au contraire, en leur demandant plus qu'on les renforcera."
Cyrulnik, B. (1999 ).Un merveilleux malheur.
Paris: Odile Jacob
p.48